expression écrite sur l'execution
---------------- expression écrite sur l'exécution 1 ----------------
Pensez-vous que les exécutions publiques peuvent donner l’exemple pour réduire le nombre de crimes dans la société ?Rédigez un texte dans lequel vous présenterez votre point de vue justifié par des arguments.
L'exécution publique était depuis toujours la manière la plus propice pour exécuter les criminels. Ce phénomène, qui est aussi ancien que l'homme même, a toujours élevé le commérage, et entre l'accepter et le dénoncer, on est confus. Alors peut-on vraiment dire que l'exécution publique sur les places et préaux, est une nécessité ?
Certains individus annoncent leur agrément avec l'exécution publique et défendent leur attitude par une multitude d'arguments. Pour les uns, exécuter publiquement un condamné à mort est la meilleure des façons pour donner l'exemple et invétérer la peur et l'effroi dans le coeur de la populace. Alors que pour d'autres, la réduction du nombre de crimes dans la société ne pourrait voir le jour qu'avec les exécutions publiques, et ceci est pour eux un avantage indéniable. Les partisans de cette idée prétextent leur adoption par l'exemple du califat islamique où la sûreté régner et où la plupart des exécutions étaient publiques.
Néanmoins, aucune de ces personnes n'a goûtée à l'amertume de ce fait. Le pauvre condamné est posé face à une double souffrance, d'une part l'idée d'exécution qui hante ses nuits et lui cause une angoisse indicible, et d'autre part la réalité terrible qu'il soit exécuter devant une foule assoiffée de sang qui le méprisera et le damnera. De plus, après sa mort, sa malheureuse famille sera désormais susceptible au rejet de la société et ainsi l'avenir de plusieurs personnes sera détruit alors qu'on pouvait si facilement les préserver de ce malheur. Dernièrement un condamné à mort été exécuté dans une place publique en Iran, le lendemain de son exécution, sa maison, le seul refuge de sa famille, a été retrouvée brûler.
En somme, l'exécution publique n'est qu'un acte excentrique, elle ne contribue ni à la réduction de la criminalité ni à la moralisation des criminels et concourt encore plus au malheur de toute une famille et c'est pour ces raisons qu'elle devrait être abolie.
Certains individus annoncent leur agrément avec l'exécution publique et défendent leur attitude par une multitude d'arguments. Pour les uns, exécuter publiquement un condamné à mort est la meilleure des façons pour donner l'exemple et invétérer la peur et l'effroi dans le coeur de la populace. Alors que pour d'autres, la réduction du nombre de crimes dans la société ne pourrait voir le jour qu'avec les exécutions publiques, et ceci est pour eux un avantage indéniable. Les partisans de cette idée prétextent leur adoption par l'exemple du califat islamique où la sûreté régner et où la plupart des exécutions étaient publiques.
Néanmoins, aucune de ces personnes n'a goûtée à l'amertume de ce fait. Le pauvre condamné est posé face à une double souffrance, d'une part l'idée d'exécution qui hante ses nuits et lui cause une angoisse indicible, et d'autre part la réalité terrible qu'il soit exécuter devant une foule assoiffée de sang qui le méprisera et le damnera. De plus, après sa mort, sa malheureuse famille sera désormais susceptible au rejet de la société et ainsi l'avenir de plusieurs personnes sera détruit alors qu'on pouvait si facilement les préserver de ce malheur. Dernièrement un condamné à mort été exécuté dans une place publique en Iran, le lendemain de son exécution, sa maison, le seul refuge de sa famille, a été retrouvée brûler.
En somme, l'exécution publique n'est qu'un acte excentrique, elle ne contribue ni à la réduction de la criminalité ni à la moralisation des criminels et concourt encore plus au malheur de toute une famille et c'est pour ces raisons qu'elle devrait être abolie.
![]() |
expression écrite sur l'execution |
---------------- expression écrite sur l'exécution 2 ----------------
Contre la peine de mort
Rappelons que la justice a déjà condamné un bon nombre de personnes à la peine de mort, exécutant ainsi plusieurs individus sous prétexte que la mort était la meilleure façon de maîtriser la criminalité. De nos jours, avec les actes criminels de plus en plus violents et atroces, la question que l’on peut se poser est la suivante : Devrait-on abolir ou non la peine de mort ?
Selon moi, il est évident que le fait de répondre à la violence par la violence n’est en aucun cas la solution à ce problème.
En premier lieu, je crois que le système judiciaire est défaillant et qu’il peut s’y glisser quelques erreurs. Dans le passé, il y eut beaucoup trop d’erreurs condamnant des accusés à une mort qu’ils ne méritaient point. En effet, il est arrivé quelquefois qu’après l’exécution du prétendu coupable, le réel meurtrier venait se livrer et avouer son ignoble geste sur l’ordre de sa mauvaise conscience. Comme les enquêtes ne sont pas toujours menées avec le sérieux requis, il faudrait peut-être s’interroger sur la capacité du système judiciaire à juger adéquatement un individu coupable ou non.
En deuxième lieu, j’ai la conviction qu’ici-bas sur terre, il n’y a pas d’humain assez parfait pour juger du comportement d’un autre et encore moins de décider de sa mort. Autrement dit, le droit de vie et de mort n’appartient pas à l’homme, mais à Dieu. Or, les juges ne sont pas infaillibles et dans le cas de la peine de mort, l'erreur judiciaire est irréparable.
En troisième lieu, il est certain que la peine de mort ne fait pas peur aux assassins et autres tueurs en série. Selon des psychologues, lorsque l’homme en arrive à vouloir commettre un crime, dans la plupart des cas, sa lucidité est absente de sa pensée. Ce qui signifie que la passion l’emporte alors sur la raison : la seule chose qui l’obsède est de parvenir à ses fins. Pendant que le crime s’effectue, rien ne peut dissuader le meurtrier ou le criminel de s’arrêter.
En conclusion, la peine de mort ne peut empêcher un criminel de perpétrer un crime. Par conséquent, on peut punir sévèrement et avec justice sans tuer car il est moralement grave de tuer un homme avant qu’il ait pu régler ses problèmes avec lui-même et avec la société, avant de lui laisser le temps du repentir.